ceci est de la terre
de nos jours, deux sortes de terre
celle qui supporte
celle qui vie
c’est un peu simpliste, hein !
la première sert à planter des semences
aux quelles ont ajoutent tout ce dont elles ont besoins
pour arriver à maturité
la deuxième contient tout la vie
qui fait qu’une graine pousse
la différence, c’est qu’une est très étendue
et nécessite des machines
elle est industrielle
l’autre est petite
et a besoin de bras pour s’en occuper
elle est « biologique »
c’est deux visions de la vie opposée
c’est un peu comme la biscuiterie « lu«
et le pâtissier du coin…
ceci fait beaucoup plus que 140 caractères ! http://t.co/F7yfOtHStD #cui-cuitement #fnsea #pac #agriculture pic.twitter.com/Ap356Uk4Ft
— jf le scour (@ready_frog) July 8, 2014
« Oui bien sûr, l’agriculture paysanne doit être compétitive, avoir une efficacité économique. Mais il faut revoir la définition de la compétitivité. Est-ce une agriculture industrielle qui pollue dont les coûts sont supportés par la collectivité ? Pour nous une agriculture compétitive doit créer de l’emploi et de la valeur ajoutée. »
dixit laurent pinatel, porte parole de la confédération paysanne
« Beulin-Pinatel : deux visions de l’agriculture, interviews croisées »
http://www.reporterre.net/spip.php?article6100
« Un jour, Xavier Beulin nous a dit que quelqu’un avec dix hectares et dix biquettes, c’est n’est pas un agriculteur. Et bien dans mon département la présidente de la Confédération paysanne a neuf hectares, vingt-cinq chèvres, et une qualité de vie que bien des agriculteurs lui envient ! »
toujours laurent pinatel, au micro…
comme quoi tout dépend ce que l’on veut
du bioéthanol pour nos 4X4
ou de l’herbe pour les biquettes…
—
y-a plus d’époque !*
jf le scour, 2014
*je sais, je sais, je revendique