ce n’est pas du « ready-made »
c’est du « real-pub »
le problème pour l’artiste
ou les artistes
pour titiller réellement l’époque
avec la volonté de dépasser le cercle de l »‘art contemporain »
c’est d’arriver à être aussi efficace
qu’une agence pub pour un annonceur
un exemple : « arrêter de banquer »
trop fort
comment arriver à dépasser le cercle de l’art contemporain
parce que c’est là que ça se passe !
franchement accrocher « son bout d’image » au mur blanc dans l’expo de groupe de « jhonny tartempion » à truc tokyo
ça sert à quoi
à part attendre son tour dans l’éventuel course à l’échalote de celui qui sera le nouveau truc incroyable à ne pas manquer… qui risque de passer à côté !
c’est construire sa caisse de résonance
son porte voix
seul
(à plusieurs ?)
pour sortir les propositions en dehors de lieux dédiés
où rien n’a plus de portée parce qu’anéanti
par le fait que les « happyfew » ont l’habitude de voir (ou consommer)
du subversif, cynique, commercial…
bref tout est possible dans un lieu d’art, une galerie
ce ne sont que des lieux de justification
c’est pour ça que l’exemple de bansky
est à écouter
il arrive à faire ce que fait une agence de pub pour un annonceur
autre exemple didier super (musique) http://www.didiersuper.com/
ou « le crise au sakosistan » d’arrêt sur images (éditition) http://www.arretsurimages.net/
bref c’est penser la médiatisation
ou de faire de la médiatisation l’objet…
ce n’ai plus d’attendre à la ligne devant la rivière
c’est de fabriquer le filet et trouver la bonne rivière !
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