photos et textes d'époque…

– une renaissance… rouge

ceci n’est pas un ready made
ceci est un dimanche de mars

bizarre
je suis allé jusqu’en suisse
pour trouver ça
« Mélenchon, l’effet bœuf »

« Un vrai combat de vrai gauchiste, puissant, porté par la force oratoire, presque gaullien aux yeux de certains. Totalement vain pour d’autres »
dixit

à propos du tour de force et de la bastille
du front de gauche et de son « meneur de paroles »

c’est le retour de la « prise de parole »
de ceux, comment disent-ils
… ils ne promettent pas !
« Au Front de gauche, on ne fait pas de promesses »
http://dunkerque.blog.lemonde.fr/2012/03/16/au-front-de-gauche-on-ne-fait-pas-de-promesses/

en tout cas, le site du temps nous fait une revue de presse aux petits oignons
ici en pdf
ou si vous êtes inscrit… au temps

tout le monde y est même frère henri ( guaino)

« … a estimé lundi sur Europe  1 que JLM avait «beaucoup de talent». «C’est un républicain comme moi, il a des analyses souvent très intelligentes», a-t-il lancé, affirmant toutefois: «C’est sur les solutions que nous divergeons. Lui, au fond, n’en a qu’une: celle de dire «je suis le bruit et la fureur», «nous avons une petite divergence sur le réalisme de cette posture». «Je trouve très intéressant que Jean-Luc Mélenchon soit là et fasse vivre une partie de l’échiquier politique», a-t-il ajouté. »

on a même le « boucher » de service

« Désolé de décevoir tant de belles joies et tant d’enthousiastes élans républicains: Jean-Luc Mélenchon est un rigolo. Un rigolo de prétoire, un rigolo de JT, un rigolo malin, un rigolo drôle. Mais un candidat dont le programme est un tissu de conneries. On peut admettre le bu : faire rendre gorge à la finance, renverser le nouvel Ancien Régime, celui des marchés financiers, OK, c’est populaire, c’est tendance. »
sur http://www.slate.fr/story/51673/melenchon-bastille-revolutionnaire

comme quoi traiter habituellement d’économie
sous l’aile protectrice d’un « apparatchik » franco-parisien
libère la parole
et ce n’est pas tout, le titre de l’article :
« Mélenchon à la Bastille: le révolutionnaire en peau de lapin »
(je le garde même en pdf, c’est un morceau d’anthologie
à la hauteur je crois de ce qu’il croit dénoncer !)
j’ai comme l’impression que nos amis parisiens
ont du mal à saisir leurs concitoyens…
hein ?
pourquoi étaient-ils si nombreux place de la bastille, ce dimanche
en rouge et noir…


aller* quelle époque
jf le scour, 2012
*je sais, je sais, je revendique

ps1 : heureusement, qu’ils ne « dikave » rien
cela va peut-être permettre à l’édifice de se fissurer, qui sait ?
pas de réponses toutes prêtes des services de propagande, crotte de chien !

ps2 : j’ai eu du mal à trouver « la » photo
http://www.liberation.fr/politiques/11011893-melenchon-a-pris-la-bastille#s1

 


mise à jour du 20 mars
« Une prise de la Bastille en famille »
http://yetiblog.org/index.php?post/prise-de-la-bastille-en-famille

 


mise à jour du 21 mars

     » Je rentrais chez moi donc, le dimanche 18 mars 2012, date médiatique de la (Re)-Prise de la B@stille (Bastille qui, entre-parenthèse et entre nous, n’y était plus… enfin en tous cas, perso, je ne l’ai pas vu de mes yeux vrais… pas plus que le candidat du Front de Gauche); donc  (parce que je n’ai pas fini ma phrase), je rentrais en me disant que c’était vraiment une drôle d’époque! Limite bizarre ! Invraisemblable !  Surréaliste ? Non… Tropique ! Voilà,  C’est une tropique d’époque ! Une époque relevant du trope, si vous préférez… enfin, c’est bizarre quoi…. »

elle termine son billet comme ça…
pour le début :
« Le Jour où Mélenchon a (Re)-pris la B@stille – Je vis? Je vois? Je « blog »? ou encore « Comment voir tout en (se) regardant? » »
http://blogs.mediapart.fr/blog/six160six/190312/le-jour-ou-melenchon-re-pris-la-bstille-je-vis-je-vois-je-blog-ou-encore-?onglet=commentaires#comment-1824319

et un belle série de photos des gens
là tout prés
http://www.wix.com/unsteakfrites/numero6#!photos/vstc1=reportages
(pas très sûr du lien)


mise à jour du 21 mars deuxième

« Sa surmédiatisation soudaine tient à plusieurs facteurs. L’intérêt pour la campagne décroît, nous disent toutes les enquêtes. Les Français sont sceptiques, perdus au milieu des promesses quotidiennes qui brouillent les messages d’ensemble des candidats. Du coup, le franc-parler, les mots simples et forts, les symboles ravivés (la Bastille) rafraîchissent la campagne. » dixit christian delporte

« Mélenchon : plus qu’un succès populaire, le héros nécessaire du récit médiatique de la campagne »
http://www.atlantico.fr/decryptage/storytelling-sequence-melenchon-succes-jean-luc-melenchon-storytelling-media-christian-delporte-313365.html

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