ceci est un « conte »… rendu
chacun au besoin de sa « short story telling »
rabote ou surligne ce qui c’est passé
le côté subjectif de tous les histoires
est le bon côté de ce qui se passe
suivant le point de vue
tout est différent… ou pas
les détails ne sont pas appréciés de la même façon
le détail est bien le nœud de l’histoire, non ?
en « pdf-rendu », celui d’alain snyers reçu le premier, ici
là, celui d’elisabeth morcellet, en « deuz »
ici le devis de la chaudière parisienne en pdf aussi
ou encore là quelques vidéos de »Lafcadio Mortimer »
sur le gros-gros tube délicieusement pixélisées
et pourvues d’un son droite gauche parfait !
je reste sur la quête du sens
qui tournant autour du ring
était, à la fois décalée et pertinente
elle aurait mérité un gros son pour que chaque « mot-sens »
sortent de ma « méfiance »
comme si le sens était c(g)aché par l’image
au bons sens comme au mauvais « sens-mot »
bref, j’ai retenu les remerciements habituels d’alain snyers
qui à force de les entendre mériteraient plus irrévérences
pour que je reste en bonne haleine
un paradoxe, comme elle le dit ?!
l’absence de mots-dits pendant la performance « noir et banc »
d’élisabeth morcellet
alors qu’elle est à la vie orale comme écrite
inarrêtable… (l’ensemble d’objet noir et blanc était ! cf son « conte rendu »)
en mauvaise langue
les interruptions de l' »egotique » fondé de pouvoir ben
font partie de l’histoire
pour ben, laisser faire n’est pas possible
c’est d’ailleurs pour ça qu’il invite les autres
pour les couper
soit,
je coupe bien du boudin !
quelle bonne* époque !
jf le scour, 2013
*je sais, je sais, je revendique
ps1 : c’était le quatrième « conte-rendu », hip
ps2 : je mets la vidéo présentant « l’arpent sémiotique »comme point de mir de ce qu’il en est ou « a » du sens !