ici l’eau est, comment dire
… « domestiquée »
jusque dans les années 70 du siècle dernier
on tannait le cuir
c’est la fierté de la ville
et c’est devenu son « patrimoine »
comme d’autres, la mine
je ne sais pas pourquoi on encense
ces industries passées
beaucoup de nostalgie mal placée à mon goût
ouai, industries tueuses d’hommes… au travail
mais bon
l’eau s’est écoulée
voilà le lien du texte « désaccord » de thoma vinau sur un de ces sites
http://etc-iste.blogspot.fr/2012/04/desaccord.html
ps1 : hier lundi matin, je me suis réveillé au son d’une émission
dans le poste qui donnait la parole à thomas vinau
un habitué de france culture (ou là)… et de mes appels à participer
(« croûOthon » et « vous dites« )
comme quoi !
bref, c’est lui qui m’a mis en joie
avec ces hésitations passionnées
face aux « maîtreux » de la « raconte » qui étaient invités aussi
à parler…
je suis donc parti avec le soleil frisquet
et la caméra…
si j’avais pas c’te migraine, je remettrais en fonction mon logiciel « audacity » pour pouvoir t’envoyer les traces audiophoniques des premiers enregistrements de ma lecture du « Journal du lendemain ».
demain peut-être ?
Grr
Le Léon
ah, le lendemain
encore une histoire d’aller retour…
envoie, envoie
tu verras bien ce que je (re)tourne plus tard
« bien le beau jour », jf
Elle n’hésite pas cette eau. Elle déborde. Elle assaille. Pour remettre la vase à sa place. Au centre de tout.
Moi je serais plutôt goutte à goutte…
Me fait penser à cette citation aussi : « C’est toujours dans le désert que l’on casse sa bouteille d’eau. » Louis Scutenaire
Fallait s’en attendre !