photos et textes d'époque…

« aux rages, non, au désespoir »

ceci n’est pas un ready made
ceci est une illusion

je ne sais pas si vous savez…
à l’approche de juillet
avignon fait théâtre
et ça depuis 1947
un bail, hein

et puis on fête
on adore fêter
comme si « festoyer » donnait un coup de neuf au bazar festivalier
on fête le centenaire de la naissance de jean vilar
celui à qui on a donné la place en « prems »
d’ailleurs ce « on » avait à faire avec les arts visuels et la poésie…

même les échos des marchés et des grosse boîtes
parle d’avignon
c’est dire :
 » Le théâtre grand ouvert de Jean Vilar »
http://www.lesechos.fr/journal20120629/lec1_les_echos_week_end/0202139939935-le-theatre-grand-ouvert-de-jean-vilar-339046.php

« Dans les années 1950-1960, Vilar et les pionniers de la décentralisation, irriguaient la France profonde de spectacles vivants, semant les graines d’un développement culturel durable. »

incroyable ces mots utilisés…
ou encore ceux-là tirés du dossier de presse
http://www.festival-avignon.com/
ou en pdf

« Un homme en rouge muni d’un porte-voix, c’est le visuel que vous avez choisi pour cette édition… H.A. : Le croquis qui figure sur la couverture de cet avant-programme est issu d’un cahier de répétitions de l’artiste William Kentridge pour sa création au Festival, La Négation du temps. Il nous évoque le courage nécessaire pour construire librement une pensée et prendre la parole pour l’exprimer. Nous souhaitons que, cet été encore, le Festival soit un lieu où cette liberté puisse s’exercer, pour les artistes comme pour les spectateurs. Chaque création invitée à ce Festival est née d’un désir d’affirmer une parole singulière à partager. Cette édition dit, comme la Marguerite de Boulgakov au Maître, cet artiste qu’elle aime tant : « Souviens-toi que la lâcheté est le pire des péchés. » Elle nous exhorte à nous préoccuper du monde, à en être acteurs malgré les difficultés. » (h.a. pour hortance archambault la partie féminine du duo « programmatique ») Lire la suite