ceci est un paquet
ou comment en manque de mots devant…
le film continue
c’est peut-être ça, la différence entre le cinéma
et ce petit bout de vidéo
les dialogues doivent être pensés !?
appris !!
est encore* un clin d’œil à mon travail sur l’affiche publicitaire
le « 203 », un objet que j’ai accroché à un arbre rue de charonne
ou une allusion à la « valise palissade«
oui… comme ce n’est pas la première fois que « natalex »… m’envoie
je m’attendais
je ne sais pas
je m’attendais
à du lourd
du plus, comment dire
peut-être du… au « grand cadre rouge« chacun ses envies, hein !
et les vaches seront bien gardées
une seule chose est sûr les paillettes étaient là, elles
elles pourraient terminer comme la sciure, les clous, la suie et les « h »
au fond d’un sachet !
ouai, je n’ai pas, là tout de suite… le slogan
et puis sur ce coup là, j’ai à peine un sachet, en quantité
—
quelle bonne** époque !
jf le scour, 2013
ps1 : ici l’envoi d’avant, y-a-t’il un rapport ?
« rendu d’un reçu… rendu de jacquot »
http://ready.thecroute.com/2013/11/19/rendu-dun-recu-7476/
Bonsoir Jean-François,
Je découvre avec toujours autant de plaisir tes réceptions. Y a un lien. La campagne de l’album qui déclinait des slogans comme autant de paroles « libres ».
La question posée, celle de la parole assumée, est essentielle : qui aujourd’hui crée le tempo des idées ? Je ne parle pas des suiveurs qui aboient avec les chiens mais de ceux qui portent un regard critique hors les faits médiatisés.
En lisant le fragment, on pourrait aussi associer ce morceau à une autre de tes séries, celle de ceux qui l’ont fait. Ce n’était pas la lecture avant envoi mais maintenant que je découvre ce morceau sous cet angle, je lis : Je/il l’a fait Pépère. Le message originel n’était pas celui là. Il était question de « il fait flipper » si j’ai bon souvenir.
Avec le temps, ces fragments se font rares. Celui-là est apparu comme un bon souvenir sous un « make art not war » !