photos et textes d'époque…

– maastricht sur meuse

ceci n’est pas un ready made
je ne sais pas ce que c’est

voilà on en est là

un des journalistes du quotidien parisien dit de « référence »
écrit un article sur une foire…
http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/03/12/maastricht-lieu-d-excellence-de-l-histoire-de-l-art-et-de-son-marche_1492307_3246.html

ce journaliste fait partie du « top 10 » de la critique
http://www.google.fr/search?q=Harry+Bellet
c’est vrai « critique » ne veut plus rien dire
on ne critique
on ne contredit
on va dans le sens de
ah oui, de quoi ?

si on en reste à cet article
c’est dans le sens de l’argent
du gros
on attend d’après notre journaliste beaucoup jets privés
(statistique à l’appui 305 en 2007,  40 dix avant)

il nous écrit :
« En 2010, la valeur totale des oeuvres d’art exposées à Maastricht était estimée par les assureurs à 2,7 milliards de dollars (près de 2 milliards d’euros). Soit deux fois plus qu’en 2008. »

« La plupart des achats sont donc concrétisés ailleurs, en déplaçant ce que Kusin nomme le «  »nexus », ce terme juridique et comptable désignant le lieu où la transaction est soumise à imposition ». »

tout va bien, madame la marquise
vous croyez que le service commercial du quotidien dit de « référence »
a vendu l’encart à « l’artisan contemporain » ?

mais non,
ceux qui font des « transactions » suivant le lieu d’imposition
ne lisent pas plus les quotidiens
ils les achètent
pour contrôler le flux
le débit
le sens

pour que le frêle équilibre
continue de servir les bénéfices
qu’ils vont montrer à maastricht…

mais alors à quoi ça sert cet article ?
notre journaliste ferait dans l’information ?

aller* quelle époque
jf le scour, 14 mars 2011

*je sais, je sais, je revendique

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